Son discours tranche avec celui de ses prédécesseurs, prônant une plus grande intégration européenne.

« Nous voulons cesser de dire “non” par défaut et commencer à dire “oui” pour faire plus ensemble », a-t-il déclaré.

Cette victoire est perçue à Bruxelles comme une nouvelle positive, mettant fin à l'« intermède Wilders » et ramenant les Pays-Bas au cœur des affaires européennes. Cependant, la formation d'une coalition s'annonce complexe dans un paysage politique fragmenté, nécessitant probablement une alliance large et des négociations qui pourraient durer des mois. L'échec de la gauche, menée par l'ancien commissaire européen Frans Timmermans, qui a démissionné de la tête de son alliance après des résultats décevants, reconfigure également les forces progressistes du pays.