Cependant, cette annonce intervient dans un contexte où l'administration Trump cherche à réorienter ses priorités stratégiques vers l'Asie.

Pour certains analystes européens, cette décision envoie un « mauvais signal à la Russie » concernant la région de la mer Noire et affaiblit la sécurité d'un « État en première ligne ». La France, par la voix de sa ministre des Armées, a affirmé que la défense du flanc Est resterait « robuste », mais l'annonce américaine met une pression accrue sur les nations européennes pour qu'elles augmentent leurs investissements dans leur propre défense et prennent en main leur sécurité, comme l'a reconnu le ministre roumain de la Défense.