Dans ce contexte, la Hongrie se distingue.

Le Premier ministre Viktor Orbán s'est rendu à Washington pour obtenir une dérogation, arguant que son pays, enclavé, dépend des oléoducs russes.

Le président américain Donald Trump a confirmé examiner cette demande, déclarant : "C'est très difficile pour [la Hongrie] d'obtenir du pétrole et du gaz d'autres régions".

Cette approche pragmatique de Washington envers Budapest contraste avec la pression exercée sur d'autres alliés, illustrant les complexités de la politique de sanctions et les différentes réalités énergétiques au sein de l'UE.