Ils seront donc éligibles à une assistance provenant du "Pool de Solidarité". Cette aide pourra prendre la forme de relocalisations de demandeurs d'asile, d'un soutien financier ou d'une assistance logistique.
Parallèlement, la Commission a reconnu que six autres pays (Bulgarie, Tchéquie, Estonie, Croatie, Autriche et Pologne) font face à des "situations migratoires significatives".
Cette désignation leur permettra de demander une réduction totale ou partielle de leurs contributions au mécanisme de solidarité.
Le commissaire aux Affaires intérieures, Magnus Brunner, a souligné que le pacte vise à équilibrer "solidarité et responsabilité".
Cependant, l'aspect le plus controversé reste la relocalisation. Pour accommoder des pays comme la Pologne et la Hongrie, qui s'opposent fermement à la relocalisation obligatoire, le système offre une flexibilité : les pays peuvent choisir entre accueillir des migrants, verser une contribution financière pour chaque personne refusée, ou proposer une autre forme d'aide. Les détails sur le nombre de relocalisations ou les montants financiers ne seront publiés qu'une fois que les États membres auront décidé de la taille finale du pool de solidarité.











