Un diplomate a résumé le fossé : "Dites-vous à la Commission : vous devez faire payer le Royaume-Uni... ou dites-vous, vous savez, nous devrions explorer s'il est possible pour le Royaume-Uni de payer." Ce retard est problématique pour le Royaume-Uni, qui espérait conclure un accord sur la liaison des systèmes d'échange de quotas d'émission (ETS) avant l'entrée en vigueur de la nouvelle taxe carbone aux frontières de l'UE (CBAM) le 1er janvier. Sans accord, les exportateurs britanniques de secteurs comme l'acier et le ciment seront taxés.

De même, Londres souhaite finaliser un accord agroalimentaire d'ici 2027.