Il comprend également des orientations sur l'utilisation de l'intelligence artificielle lors des élections. Cependant, des critiques ont déjà émergé, jugeant la proposition de la Commission pour lutter contre l'ingérence étrangère "trop faible", car la participation des États membres serait volontaire. L'annonce a également suscité une réaction du magnat de la technologie Elon Musk, qui a interpellé Ursula von der Leyen sur la plateforme X : "Si la démocratie est le fondement de la liberté, votre position de dirigeante de l'UE ne devrait-elle pas être élue directement par le peuple ?

".

Cette remarque souligne le débat plus large sur la légitimité démocratique des institutions européennes.