Le chancelier allemand Friedrich Merz a souligné lors d'un appel avec M. Zelensky que l'Allemagne attendait de l'Ukraine qu'elle "fasse avancer vigoureusement la lutte contre la corruption".

Ce scandale fournit des arguments aux détracteurs du soutien à l'Ukraine, comme le Premier ministre hongrois Viktor Orbán, qui dénonce le "chaos" dans lequel l'UE s'apprêterait à verser l'argent des contribuables.

La situation met en évidence le délicat équilibre que les alliés de l'UE doivent trouver entre le soutien indéfectible à l'effort de guerre ukrainien et l'exigence de réformes de gouvernance profondes.