Parallèlement, la ministre suédoise des Affaires étrangères, Maria Malmer Stenergård, a vivement critiqué le partage inéquitable du fardeau financier, soulignant que les pays nordiques contribuent de manière disproportionnée à l'aide militaire. Elle a déclaré : "Le fait que quelques pays assument la quasi-totalité de la charge, ce n'est pas juste et ce n'est pas durable à long terme". Cette situation complexe, compliquée par les vétos potentiels de la Hongrie et de la Slovaquie, met l'UE dans une course contre la montre pour débloquer les fonds avant le sommet de décembre.