La Russie a immédiatement réagi en accusant Paris d'"alimenter les sentiments militaristes et proguerre". Cet engagement fort de la France, un pilier de l'UE, est perçu comme une nécessité pour permettre à l'Ukraine de se défendre elle-même et ainsi éviter un affrontement direct entre l'Europe et la Russie.

Il intervient alors que le soutien financier et militaire global à Kiev fait face à des incertitudes, tant au niveau de l'UE que des États-Unis.