La situation est compliquée par le plan de paix américain, qui propose également d'utiliser ces actifs pour une reconstruction dirigée par les États-Unis, dont Washington tirerait 50 % des bénéfices, une idée jugée "scandaleuse" à Bruxelles.
De son côté, Vladimir Poutine a qualifié le projet de "vol" et a menacé de "mesures de rétorsion".












