En réaction, les Européens ont proposé une contre-proposition.

Le secrétaire général de l'OTAN, Mark Rutte, a souligné que même si les États-Unis mènent les efforts, « toute mention de l'OTAN dans l'accord pour mettre fin à la guerre sera évidemment traitée séparément avec l'OTAN ». La ministre finlandaise des Affaires étrangères, Elina Valtonen, a ajouté : « En fin de compte, ce sera à l'OTAN de décider des questions relatives à l'OTAN ».

L'absence du secrétaire d'État américain Marco Rubio à une réunion ministérielle de l'OTAN a été interprétée par certains comme un mauvais signal, bien que d'autres estiment que sa priorité accordée aux pourparlers avec la Russie était préférable. La cheffe de la diplomatie de l'UE, Kaja Kallas, a exprimé sa crainte que « toute la pression soit dirigée sur la victime... pour faire des concessions ».