Les articles font état d'une intense activité diplomatique.

Le président ukrainien Volodymyr Zelensky rencontre ses principaux alliés européens — le président français Emmanuel Macron, le chancelier allemand Friedrich Merz et le Premier ministre britannique Keir Starmer — à Londres.

Cette réunion vise à coordonner leurs positions concernant les "négociations en cours dans le cadre de la médiation américaine".

Le plan américain initial, négocié par l'émissaire Steve Witkoff, a été vivement critiqué par les Européens car jugé trop favorable à Moscou.

L'UE a été "largement mise à l'écart" des pourparlers jusqu'à présent.

Suite à la réaction européenne, le plan a été amendé, et Zelensky lui-même a noté qu'il s'était "amélioré" mais que la "question territoriale est la plus difficile". Emmanuel Macron soutient cette position, déclarant qu'il n'y a pas de "plan finalisé sur les questions des territoires" et que celles-ci ne peuvent être réglées que par Zelensky.

La cheffe de la diplomatie de l'UE, Kaja Kallas, a exprimé sa crainte que "toute la pression soit dirigée sur la victime (...) pour faire des concessions". Les Européens tentent donc de former un front commun pour soutenir l'Ukraine et s'assurer que tout accord de paix respecte le droit international et ne sacrifie pas la souveraineté ukrainienne.