Ces mesures sont vivement critiquées par les associations de défense des droits humains, qui dénoncent des violations des droits fondamentaux.

Bien que certains pays comme la France et l'Espagne aient exprimé leur scepticisme quant à la légalité et à l'efficacité de ces propositions, une « volonté politique largement partagée » semble exister pour les faire adopter rapidement.

Parallèlement, des discussions périlleuses se poursuivent sur un nouveau système de répartition des demandeurs d'asile, qui obligerait les États membres à accueillir des réfugiés ou à verser une contribution financière de 20 000 euros par personne refusée.