Cet incident a amplifié les tensions commerciales transatlantiques, l'administration Trump ayant déjà critiqué le DSA, l'accusant de discriminer les entreprises américaines.

Le vice-président américain JD Vance a qualifié l'amende de mesure punitive pour « ne pas s'engager dans la censure », une accusation rejetée par la commissaire européenne Henna Virkkunen, qui a insisté sur le fait que « cette décision concerne la transparence de X ». Le président du Conseil européen, António Costa, a défendu la décision en affirmant que « les États-Unis ne peuvent pas remplacer l'Europe dans sa vision de la liberté d'expression », qui repose sur le respect du pluralisme de l'information.