D'autres pays, dont l'Italie, Malte et la Bulgarie, ont rejoint cette position prudente.

La menace du président russe Vladimir Poutine de "lourdes conséquences" en cas de saisie des actifs a également pesé sur les débats.

Face à ce blocage, l'UE a dû se rabattre sur un "plan B" : le prêt de 90 milliards d'euros financé par un emprunt commun. Cet épisode est perçu comme une "défaite de l'Europe" par certains commentateurs, illustrant la difficulté du bloc à prendre des mesures audacieuses et inédites, même dans un contexte de guerre.