L'ailier Louis Bielle-Biarrey a clairement énoncé la ligne directrice : « On n’est plus du tout en mode revanche.

On est concentrés sur notre défi porté sur 2027.

» L'entraîneur des avants, William Servat, a abondé dans ce sens, affirmant que la rencontre « n’a rien à voir avec celle de 2023 ».

Cependant, derrière cette communication maîtrisée, la douleur de l'échec à domicile reste palpable.

Le demi de mêlée Maxime Lucu a résumé ce sentiment avec des mots forts : « C’était notre Coupe du monde et ils sont venus nous la piquer. » Cette déclaration, citée dans plusieurs articles, révèle que si le mot "revanche" est banni, l'envie de se confronter aux doubles champions du monde et de marquer les esprits est immense.

Les joueurs expriment un grand respect pour la qualité de l'équipe sud-africaine, décrite par Lucu comme étant bien plus que « des brutes », mais une équipe « complète » avec « beaucoup de talent ».