Cette stratégie explique les nombreuses rotations observées, notamment pour le match contre les Fidji.
Selon le sélectionneur, ces changements ne sont pas de simples ajustements réactifs mais une démarche planifiée visant à donner de l'expérience et du "vécu commun" à un groupe plus large. L'ambition est de se rapprocher des modèles de nations comme la Nouvelle-Zélande ou l'Afrique du Sud, reconnues pour leur profondeur d'effectif.
Galthié a martelé cette idée : "On a compris qu’aujourd’hui il fallait développer le groupe, il fallait donner de l’expérience à d’autres joueurs".
Cette approche vise à rendre l'équipe de France plus résiliente face aux blessures, aux méformes et aux aléas inhérents au rugby de haut niveau, afin de ne pas se retrouver "démuni en cas d'imprévu juste avant le Mondial".
Les difficultés actuelles, comme les défaites ou le calendrier chargé du Top 14, sont perçues par le staff comme des opportunités pour aguerrir de nouveaux talents et tester des associations.
Cette vision dépasse même 2027, préparant déjà la jeune génération pour le Mondial 2031.












