Son ambition est de développer un groupe élargi avec « au moins trois joueurs par poste » capables de porter le maillot bleu. Cette vision explique les rotations importantes et les choix parfois surprenants, comme la mise à l'écart de Grégory Alldritt avant de le nommer capitaine.
Pour Galthié, ces décisions ne sont pas des ajustements réactifs mais une stratégie planifiée pour donner de l'expérience à un vivier plus large et créer un « vécu commun » indispensable au très haut niveau.
Il justifie les difficultés actuelles, notamment le manque d'automatismes, par le faible temps de préparation collective dont dispose son équipe par rapport aux nations de l'hémisphère Sud, qui enchaînent les matchs depuis plusieurs mois. Cependant, cette méthode est remise en question par certains observateurs qui s'inquiètent d'une série de quatre défaites consécutives et d'une victoire peu convaincante, y voyant un risque que le « plan 2027 » ne s'écroule.
Le sélectionneur assume ces moments difficiles, affirmant que « les défaites amènent le doute, amènent la pression.
Mais ça ne nous pose pas de problème.
Au contraire, c’est quelque chose qui nous rend plus forts ».












