Pointé du doigt pour son manque d'impact et sa discrétion face à l'Afrique du Sud et aux Fidji, Ntamack est devenu une cible privilégiée des observateurs.
Cependant, plusieurs voix se sont élevées pour le défendre.
Son partenaire à la charnière, Maxime Lucu, a expliqué que les longues phases défensives rendaient la tâche difficile pour l'ouvreur : "c’est dur alors pour Romain de s’exprimer, comme pour nos centres ou nos ailiers".
L'entraîneur des avants, Laurent Sempéré, a également pris sa défense, rappelant qu'"un ouvreur dépend aussi de la qualité des ballons qui lui sont fournis" et a salué le leadership du joueur : "Il est très engagé, froid dans l’analyse, honnête sur les performances de l’équipe et ça tire l’équipe vers le haut". Le deuxième ligne Thibaud Flament s'est quant à lui agacé de ces critiques, déclarant "on ne comprend pas". Les articles soulignent que le staff n'envisage aucune remise en cause de son statut de titulaire, le considérant comme "l'ouvreur numéro 1". La comparaison avec Matthieu Jalibert est jugée hasardeuse, les contextes de jeu en club et en sélection étant très différents.












