Face aux critiques pointant un manque d'impact dans l'animation du jeu, plusieurs voix se sont élevées pour le défendre.
L'entraîneur des avants, Laurent Sempéré, a rappelé qu'"un ouvreur dépend aussi de la qualité des ballons qui lui sont fournis", soulignant que Ntamack reste "très engagé, froid dans l’analyse" et que son attitude "tire l’équipe vers le haut".
Le sélectionneur Fabien Galthié a balayé les doutes en conférence de presse : "Je ne suis pas au courant qu’il y ait des interrogations.
Dans le groupe, Romain n’est pas critiqué."
Son partenaire à la charnière, Maxime Lucu, a également pris sa défense, expliquant qu'il est difficile pour un ouvreur de s'exprimer lorsque l'équipe passe de longues minutes à défendre. Il a ajouté : "C'est l'ouvreur n°1 et titulaire depuis un petit moment en équipe de France.
Il faut lui faire confiance et ne pas forcément être trop dur."
Les analyses suggèrent que le contexte collectif, avec des ballons lents et une équipe en phase de reconstruction de ses automatismes, explique davantage la discrétion de Ntamack que sa forme individuelle. Le contraste avec son rôle au Stade Toulousain, où il dispose de plus de solutions, est également mis en avant pour contextualiser ses performances en Bleu.












