Malgré ce contexte, le sélectionneur Fabien Galthié et ses coéquipiers lui ont publiquement renouvelé leur confiance, le confirmant comme le numéro un au poste.

Reconduit pour le match décisif contre l'Australie, Ntamack a été défendu par son staff.

Fabien Galthié a balayé les doutes en conférence de presse : « Je ne suis pas au courant qu’il y ait des interrogations.

Dans le groupe, Romain n’est pas critiqué.

Il se comporte comme le numéro 10 de cette équipe.

» Ses partenaires ont également fait bloc.

Maxime Lucu a souligné la difficulté pour un ouvreur de s'exprimer lorsque l'équipe subit et manque de munitions propres, rappelant que « c’est l’ouvreur numéro 1 et titulaire depuis un petit moment ».

Thibaud Flament s'est quant à lui agacé des critiques, affirmant que le groupe ne comprenait pas ce procès fait à leur coéquipier.

L'analyse des articles met en avant que la performance d'un ouvreur dépend fortement de la qualité des ballons fournis par les avants et de la dynamique collective. Or, les Bleus ont connu des difficultés dans la vitesse de libération des rucks et ont passé de longues périodes à défendre.

Dans ce contexte, il était difficile pour Ntamack de peser sur le jeu comme il le fait avec le Stade Toulousain, où l'animation est différente.

Malgré un match encore discret face à l'Australie, sa gestion et sa solidité défensive restent des atouts majeurs aux yeux du staff, qui privilégie la continuité et la stabilité à ce poste clé.