Il révèle un homme « très réfléchi et posé », dont la réussite s'est construite à force de travail.

Cette image contraste avec la perception que semble en avoir une partie du rugby mondial.

Son omission de l'équipe type de 2025, au profit du Néo-Zélandais Will Jordan, a été jugée surprenante, y compris par la presse anglophone.

Le média allthingsrugby estime que Ramos « peut certainement se sentir lésé » et « n'aurait pas pu faire grand-chose de plus pour alimenter le débat ».

L'analyse met en avant son profil unique d'arrière moderne, véritable « second ouvreur » et « régulateur » du jeu des Bleus, capable de façonner un match par sa vision, son jeu au pied chirurgical et sa polyvalence, comme l'a montré sa performance en numéro 10 contre l'Italie. Pour beaucoup de spécialistes en France, il est considéré comme « le vrai patron des Bleus ». Son absence de cette distinction honorifique suggère que son influence, bien que cruciale pour la France, n'est peut-être pas encore reconnue à sa juste valeur au niveau mondial.