Cette configuration favorable offre une rampe de lancement idéale avant d'aborder des phases finales qui s'annoncent redoutables.
Placés dans la poule E en compagnie du Japon, des États-Unis et des Samoa, les Bleus ont évité les principaux favoris de la compétition lors de la phase initiale. Le sélectionneur Fabien Galthié a qualifié ce groupe d'« extrêmement bonne », tout en insistant sur la nécessité de « respecter fortement nos adversaires ».
Cette poule, sans cador mondial, devrait permettre une montée en puissance progressive, un avantage notable par rapport aux éditions précédentes.
Le nouveau format à 24 équipes, avec l'introduction des huitièmes de finale, rend la première place du groupe cruciale pour s'assurer un parcours a priori plus favorable. Si le capitaine Grégory Alldritt a prévenu que « si c’est soi-disant plus simple d’aller en demi-finale, ça ne sert à rien d’y aller pour la perdre », la perspective d'éviter un choc majeur d'entrée est perçue positivement. Fabien Galthié a également souligné un avantage logistique majeur par rapport à 2023 : l'équipe disposera de « deux semaines de plus entre la finale du Top 14 et le début de la préparation », offrant un temps de régénération crucial.
Cependant, la suite du tournoi s'annonce vertigineuse. Le sélectionneur a évoqué un « parcours formidable, grandiose » avec la présence potentielle de « neuf titres de champion du monde » dans la même partie de tableau que la France, incluant l'Australie, la Nouvelle-Zélande et l'Afrique du Sud.












