En l'absence des cadres, la jeune garde du rugby français marque des points

En l'absence de nombreux cadres laissés au repos après la tournée d'automne, la 11e journée de Top 14 a mis en lumière le talent et la maturité de la jeune génération de joueurs français. Plusieurs d'entre eux ont marqué des points en vue d'une potentielle sélection avec le XV de France, démontrant la profondeur du vivier tricolore. L'article intitulé « Le week-end des Bleus : Lenni Nouchi marque des points, les jeunes poussent » résume parfaitement la tendance observée. Le troisième ligne de Montpellier, Lenni Nouchi, a été particulièrement en vue lors de la victoire contre l'UBB, son entraîneur Joan Caudullo militant même pour sa sélection chez les Bleus. À Toulon, l'arrière Mathis Ferté a de nouveau été étincelant, inscrivant un doublé et amenant son manager Pierre Mignoni à lui prédire un avenir en équipe de France. Du côté de Bordeaux, le centre Nicolas Depoortere, déjà remarqué lors de la tournée de novembre, continue de confirmer son immense potentiel, au point que l'ancien international Thomas Castaignède lui voit des similitudes avec une « légende toulousaine ». Ces performances solides et régulières de la part de jeunes joueurs dans des matchs à haute intensité sont un signal fort pour le staff du XV de France, qui peut compter sur une nouvelle vague de talents prêts à bousculer la hiérarchie établie.

En résumé

Les prestations remarquées de plusieurs jeunes joueurs comme Lenni Nouchi, Mathis Ferté et Nicolas Depoortere en Top 14 confirment la richesse du réservoir français et offrent de nouvelles perspectives prometteuses pour l'avenir du XV de France.

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« Ça m’amuse bien de faire un tour du monde à l’envers » : Guirec Soudée, défi fou pour marin givré

Régulièrement, Maé et Manec, 4 et 2 ans, s’endorment avec les histoires de leur papa. De drôles d’aventures où il est question d’océans, d’icebergs, d’albatros, d’ours au Groenland… Et même d’une poule. En 2013 et 2014, « Momo », une cocotte rousse, avait accompagné Guirec Soudée, parti durant cinq ans, faire un tour du monde de 45 000 miles, sur un voilier de 10 m, en (presque) solitaire et en parfaite autonomie, du pôle Nord au pôle Sud, passant notamment 130 jours sur les glaces du Groenland. Il faut dire que Guirec Soudée a un côté « givré ». Et il n’est pas vraiment du style à garder les deux pieds sur terre.Il avait 22 ans lorsqu’il a rencontré Monique, pour qui il a même renoncé aux eaux turquoise de Tahiti, le volatile n’y étant pas bienvenu en raison de l’épidémie de grippe aviaire. Et 28 ans quand il a eu l’idée de faire une double traversée de l’Atlantique à la rame (74 jours dans un sens, 107 dans l’autre).

Le Parisien

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