Cette conclusion a été vécue comme une profonde injustice par la famille de Medhi Narjissi. Les articles rapportent que les proches du joueur ont été "profondément ulcérés" par cette décision.

Ils perçoivent la position de la FFR non pas comme une analyse objective des responsabilités, mais comme une manœuvre visant à protéger l'institution.

L'expression "bouclier institutionnel" résume leur sentiment d'être confrontés à un système qui se défend lui-même plutôt que de chercher à établir toutes les responsabilités dans la tragédie. Cette affaire met en lumière les questions cruciales de la sécurité et de l'encadrement des jeunes sportifs de haut niveau lors des déplacements internationaux sous l'égide de la fédération.