
L'assassinat du frère d'Amine Kessaci est perçu comme une potentielle escalade dans la violence liée au narcotrafic à Marseille.
Si la piste de l'intimidation est confirmée, cela marquerait l'adoption de tactiques mafieuses visant à terroriser les militants et leurs familles, posant un défi direct à l'autorité de l'État.










