
L'assassinat de Mehdi Kessaci, victime innocente, est perçu comme une escalade majeure dans la violence liée au narcotrafic à Marseille. Cet acte, possiblement un message d'intimidation envers son frère militant Amine Kessaci, met en lumière les risques encourus par la société civile et soulève des questions cruciales sur l'efficacité de la réponse de l'État face à un crime organisé qui semble franchir un nouveau cap dans l'horreur.
