
Nvidia a atteint une capitalisation record de 5 000 milliards de dollars, propulsée par la demande en IA et des perspectives commerciales optimistes concernant la Chine, malgré les craintes d'une bulle spéculative.
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Nvidia a atteint une capitalisation record de 5 000 milliards de dollars, propulsée par la demande en IA et des perspectives commerciales optimistes concernant la Chine, malgré les craintes d'une bulle spéculative.

La Fed a baissé ses taux de 0,25 point comme prévu, mais l'incertitude quant à la prochaine décision de décembre, accentuée par les divisions internes, a provoqué une réaction mitigée des marchés, faisant grimper le dollar et les rendements obligataires.

La séance de Wall Street s'est soldée par une performance contrastée : le Dow Jones a baissé sous l'effet de la prudence de la Fed, tandis que le Nasdaq a été propulsé à un nouveau record par l'envolée de Nvidia, illustrant la divergence entre les valeurs technologiques et le reste du marché.

La BCE devrait opter pour le statu quo monétaire, maintenant son taux de dépôt à 2 %, en raison d'une inflation maîtrisée mais d'un environnement économique incertain. Cette prudence contraste avec l'assouplissement de la Fed et reporte les discussions sur une éventuelle baisse de taux à une date ultérieure.

Les marchés européens ont évolué de manière dispersée, reflétant une grande prudence avant les annonces cruciales de la Fed et des entreprises technologiques américaines. Paris et Francfort ont reculé tandis que Londres et Milan ont légèrement progressé, illustrant une absence de conviction sur les marchés du Vieux Continent.

Grâce à la performance remarquable de ses investissements en actions, notamment dans les matières premières et la finance, le fonds souverain norvégien a enregistré un gain substantiel de 88 milliards d'euros au troisième trimestre, portant sa valeur totale à plus de 1 750 milliards d'euros.

L'or confirme son statut de valeur refuge, avec des cours soutenus par une forte demande des banques centrales et l'incertitude économique. Les investisseurs et les traders profitent de cette volatilité, tandis que le marché reste attentif aux décisions des banques centrales et aux développements géopolitiques.

Boeing a subi une forte baisse de son titre en bourse suite à la publication de résultats trimestriels décevants, marqués par une perte de 5,34 milliards de dollars.
Les retards persistants et les coûts associés au programme 777X continuent de peser lourdement sur la rentabilité du constructeur aéronautique.

L'anticipation d'une rencontre entre les présidents américain et chinois a insufflé un vent d'optimisme sur les marchés.
L'espoir d'un accord commercial, notamment sur l'exportation de puces électroniques, a été un catalyseur majeur pour des entreprises comme Nvidia et a contribué à la hausse des prix de certaines matières premières.

L'indice CAC 40 a terminé la journée en légère baisse, illustrant la prudence des investisseurs face aux incertitudes monétaires américaines et aux tensions politiques et budgétaires nationales. La performance de la Bourse de Paris contraste avec le dynamisme des valeurs technologiques à Wall Street.