
La gestion de la crise par l'organisation Miss France a été rapide et sévère, mais l'affaire a évolué pour mettre en lumière les dérives du cyberharcèlement. La réponse des ex-Miss, passant des excuses à l'action en justice, montre la complexité de gérer une erreur personnelle à l'ère numérique, où la sanction populaire dépasse souvent la sanction officielle.









