
Les « scream clubs » illustrent la manière dont la jeunesse contemporaine utilise les réseaux sociaux pour créer des rituels collectifs répondant à un besoin urgent de décompression face au stress. Bien que n'étant pas une solution thérapeutique durable, ce phénomène viral met en lumière les enjeux de santé mentale de la génération Z et sa recherche de nouveaux modes d'expression et de solidarité.




