
La restitution et l'identification de la dépouille de Lior Rudaeff, plus de deux ans après sa mort, illustrent la nature macabre des échanges prévus par le cessez-le-feu. Si elle offre une forme de clôture à sa famille, elle rappelle que le sort de plusieurs autres otages décédés reste incertain, prolongeant l'angoisse et la complexité des négociations.






