
La réforme du scrutin pour les communes de moins de 1 000 habitants, qui impose la parité et met fin au panachage, représente une modernisation démocratique significative mais se heurte à de fortes résistances. Les maires ruraux craignent des difficultés pour constituer des listes, voire la disparition de communes, tandis que ses partisans y voient une avancée vers un vote de projet plus structuré. L'application de cette loi en mars 2026 sera un test majeur pour la vitalité démocratique des territoires ruraux.









