
L'accord sur l'objectif climatique 2040 de l'UE représente un compromis politique majeur.
Bien qu'il maintienne un chiffre principal ambitieux de 90 %, il introduit des flexibilités significatives, telles que le recours aux crédits carbone et une clause de révision, qui réduisent l'effort national à 85 % et pourraient ralentir la décarbonation. Cet accord reflète les tensions croissantes entre les ambitions climatiques et les réalités économiques et politiques au sein de l'Union, soulevant des doutes sur l'atteinte de la neutralité carbone en 2050.









